Developing Web Components With TypeScript: Native Web Development Using Thin Libraries 1st Edition Jorg Krause (Krause All Chapters Instant Download
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Quandaries of School Leadership: Voices from Principals in
the Field 1st Edition Debra J. Touchton
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© Jö rg Krause 2021
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1. Introduction
Jö rg Krause1
(1) Berlin, Berlin, Germany
The author of this book is also the inventor and author of the @nyaf
thin library.
Components
The whole component idea is nothing new. It’s used in many
frameworks and elsewhere. Before we move onto implementation
details, let’s consider how the internals of a page in a browser are
described. You have a tree of simple elements, defined by the language
HyperText Markup Language (HTML) . You also have the ability to
describe the appearance of each element using Cascading Style Sheets
(CSS). You have the ability to manipulate both parts dynamically at
runtime using ECMAScript (also known as JavaScript). The most
important point in this description is the word “tree.” Elements form a
tree, where one or more elements are the children of another one.
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Parts of a Component
A component has several parts. They can be split into several files or
appear in just one file. It mainly depends on the environment you use
and the strategy to create, compile, and deploy the final code. In a
logical view, these are the parts:
A JavaScript or TypeScript class
A DOM structure, managed solely by its class, so outside code doesn’t
access it (the “encapsulation” principle)
CSS styles, applied to the component, which can be isolated or global
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étaient réunis avec d’autres fidèles pour leur apprendre qu’ils avaient
vu le Bon Maître.
« Ils furent accueillis par cette parole : — Le Seigneur est
vraiment ressuscité et il est apparu à Simon !
A leur tour, ils racontèrent ce qui leur était arrivé en route et
comment ils avaient reconnu Jésus à la fraction du pain. Mais
quelques-uns se refusaient toujours à croire.
Pendant qu’ils discutaient ainsi, Jésus parut soudain au milieu
d’eux et leur dit : — La paix soit avec vous. C’est moi. Ne craignez
point.
Eux, pleins de trouble et de frayeur, ils croyaient voir un spectre.
— Pourquoi cette épouvante ? reprit Jésus. Pourquoi les pensées
de doute qui se lèvent dans vos cœurs ? Voici mes mains et mes
pieds. Touchez, rendez-vous compte : un fantôme n’a ni chair ni os
comme vous voyez que j’en ai.
Ayant dit cela, il leur montra ses mains et ses pieds [percés par
les clous du supplice].
Ils reconnurent leur Maître, mais dans le saisissement de leur
joie, ils ne pouvaient encore en croire leurs yeux.
Alors Jésus leur demanda : — Avez-vous ici quelque chose à
manger ?
Ils lui présentèrent un morceau de poisson grillé et un rayon de
miel. Et, après qu’il eut mangé devant eux, prenant ce qui restait, il
le leur distribua. »
Cette relation, si émouvante en sa simplicité, constitue, à mon
avis, l’une des preuves les plus décisives de la véracité des
Évangiles.
Je suis convaincu que des imposteurs, se concertant pour fonder
une religion et voulant imposer la croyance à la résurrection du
personnage légendaire qu’ils prétendent faire passer pour un Dieu,
s’y seraient pris d’une autre manière. Ils auraient composé
l’apparition comme une scène de féerie. Ils en auraient fait une sorte
d’apothéose à grand orchestre. Ils auraient prêté à leur soi-disant
Messie un langage emphatique. Probablement ils lui auraient fait
prononcer, selon les préceptes d’une pompeuse rhétorique, un
discours aussi prolixe qu’ampoulé.
Ici, au contraire, nul artifice, nulle avance à la superstition. Mais
quel sobre et puissant réalisme dans l’exposé des circonstances. Ce
n’est pas de l’art — c’est bien plus que de l’art.
On reconstitue facilement, par la pensée, l’entretien de ces âmes
en désarroi depuis la mort de Jésus et qui n’ont pas encore reçu le
Saint-Esprit.
Les disciples d’Emmaüs arrivent tout bouleversés de ce qu’ils
viennent de voir et pressés d’en informer les fidèles. Dès qu’ils sont
entrés, les plus confiants dans la toute-puissance de Jésus leur
crient : — Le Maître est ressuscité : Simon l’a vu.
— Oui, oui, répondent-ils, nous aussi nous l’avons rencontré sur
la route. A l’auberge, nous l’avons reconnu à la fraction du pain. Et
tandis qu’il nous parlait, notre cœur brûlait d’amour dans notre
poitrine comme quand il nous menait par les chemins en nous
expliquant l’Écriture. C’est lui ! C’est lui !…
Et ils rapportent, avec une éloquence spontanée, tous les détails
de la rencontre.
Mais, dans l’assemblée, il y a des esprits méfiants qui, si naguère
ils subissaient l’ascendant de Jésus, étaient toujours enclins à
rapetisser ses enseignements à la mesure de la pauvre sagesse
humaine. Ceux-là tiennent, on le devine, des propos de ce genre : —
Madeleine qui, la première, a cru voir le Seigneur, est bien exaltée.
Elle ne mérite pas beaucoup de créance. Quant à Simon, depuis son
reniement, il vit dans une fièvre de chagrin. Il aura eu quelque
hallucination.
— Mais, insistent les disciples d’Emmaüs, nous que vous
connaissez, nous ne sommes pas des exaltés et nous n’avons pas la
fièvre. Nous avons vu le Seigneur et nous lui avons parlé comme
nous vous voyons et comme nous vous parlons.
— Bah ! vous aurez pris pour lui quelqu’un qui lui ressemblait et
qui s’est amusé de vous…
Tel est l’aveuglement de notre raison, si la Grâce ne l’éclaire, que
les arguments des sceptiques et le ton d’assurance avec lequel ils les
formulent, commencent d’ébranler les plus disposés à croire. Ils ne
savent que répondre. Et il est à remarquer que Saint Pierre, qui est
là et qui devrait semble-t-il corroborer de son témoignage
l’affirmation de disciples d’Emmaüs, Saint Pierre garde le silence.
Un doute angoissant pèse sur tous.
A ce moment, Jésus se dresse au milieu de ces hommes
perplexes, sans que la porte soigneusement verrouillée, « par crainte
des Juifs » se soit même entr’ouverte. Ils ont peur ; croyant à un
fantôme, ils s’écartent de lui en tremblant ; peut-être vont-ils fuir.
Mais lui prononce les mots par lesquels il a coutume de les
saluer. Et comme cette phrase bien connue ne suffit pas à les
rassurer, il les invite à le toucher. Puis, comme il l’a fait tant de fois, il
leur demande de la nourriture, mange devant eux et les convie à
partager avec lui ce repas improvisé, suivant le rite qu’il institua pour
bien leur démontrer qu’après comme avant la croix et le tombeau, il
est l’Homme-Dieu qu’ils vénèrent autant qu’ils le chérissent. Alors
seulement ils le reconnaissent tout-à-fait et leur joie éclate…
J’imagine que si, d’aventure, elle lit l’Évangile, la dame raffinée,
dont j’ai parlé au commencement du chapitre, juge passablement
vulgaires ce rayon de miel et ce poisson grillé. Quoi, pas même une
périphrase élégante pour désigner des aliments qu’elle se ferait
scrupule d’offrir à son directeur de conscience lorsqu’elle l’invite à
dîner !…
Mais il est à supposer qu’elle ne lit guère l’Évangile parce que le
Saint Livre choque sans cesse le sentiment « distingué » qu’elle se
forge de Notre-Seigneur.
Or qui veut faire l’ange fait la bête disait Pascal…
Pour moi, la religion affadie, enrubannée de fanfreluches, où se
complaisent les mondains m’écœure. J’adore, jusque dans les plus
humbles détails, tout ce qui se rapporte au Bon Maître. Je ne fais
pas de choix. J’aime Jésus lorsqu’il se transfigure au Thabor. Je
l’aime également lorsqu’il prend son repos dans la maison de
Zachée, homme décrié parmi les Pharisiens. Aux heures où Il daigne
s’offrir à ma contemplation dans la lumière de l’oraison, je n’ignore
pas que cette faveur insigne m’est octroyée parce que d’abord,
docile à la Grâce, j’ai ramassé les miettes qui tombent de sa table et
que je m’en suis nourri. Et combien d’autres font mieux que moi
pour lui plaire !…
VI
Le Credo est une étoile…