Foundations of Python Network Programming 1st Edition John Goerzen pdf download
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Foundations of Python Network Programming 1st
Edition John Goerzen Digital Instant Download
Author(s): John Goerzen
ISBN(s): 9781590593714, 1590593715
Edition: 1
File Details: PDF, 4.01 MB
Year: 2004
Language: english
Goerzen_3715 front.fm Page i Sunday, July 18, 2004 6:36 AM
Foundations of Python
Network Programming
JOHN GOERZEN
Goerzen_3715 front.fm Page ii Sunday, July 18, 2004 6:36 AM
v
Contents at a Glance
Index 491
vi
Contents
Acknowledgments xix
Introduction xxi
Chapter 1 Introduction to
Client/Server Networking 3
Understanding Sockets 19
Creating Sockets 20
Communicating with Sockets 23
Handling Errors 23
Using User Datagram Protocol 31
Summary 34
vii
Contents
Half-Open Sockets 87
Timeouts 89
Transmi tting Strings 90
Understanding Network Byte Order 93
Using Broadcast Data 95
Working with IPv6 97
Binding to Specific Addresses 102
Using Event Notification with poll () or select() 104
Summary 109
viii
Contents
ix
Contents
x
Contents
xi
Contents
xii
Contents
Index 491
xiii
About the Author
xv
About the
Technical Reviewer
Magnus Lie Hetland is an associate
professor of algorithms at the Norwegian
University of Science and Technology
(NTNU). He has been using Python since
1997 and is the author of the popular
online tutorials "Instant Hacking" and
"Instant Python." His publications include
Practical Python (Apress, 2004) as well as
several scientific papers.
xvii
Acknowledgments
THIS BOOK HAS BENEFITED tremendously from the insight, experience, dedication,
and encouragement of many people. Without them, this project would not have
happened. I'd like to especially thank the following people:
• Beth Christmas, project manager. Just when I was losing track of which
project to work on next, an e-mail from Beth would pop up, conveniently
summarizing exactly what the next steps should be. She did a phenomenal
job managing the schedule for this project. I have no idea how she made
things always work out, even when I was slower than expected.
• Jason Gilmore, lead editor. Jason's comments on each chapter made the text
far stronger than it was originally. By the time the book was half done, I'd
read some text and think, "Jason would tell me to do that differently." His
words of encouragement helped get me through the frantic days when
things were happening at the last minute.
• Mark Nigara. copy editor. Thanks to Mark's reviews, the spelling is correct,
the text flows well, and the book is easy to read. Reading over Mark's edits,
I was often amazed at how much improvement he could bring to the text.
Many people contributed to the technologies used in this book. I'd like to
highlight a few of them:
• To Richard M. Stallman: Thank you for showing us all the value of collabo-
ration and sharing of technology.
xix
Discovering Diverse Content Through
Random Scribd Documents
Fantin, et ne voulait pas me faire de la peine; parfois c'était dans la
hâte du départ, dans le vestibule assez obscur, que Fantin jetait un
coup d'œil sur ma toile, faisait une remarque insignifiante. Maître me
consolait de son mieux, et je ne dormais pas de la nuit.
Pourtant, un jour, je transportai rue de l'École-des-Beaux-Arts, un
ballot d'études; j'y retournai ensuite, les mains vides, ayant compris
qu'il fallait choisir entre l'honneur insigne, le plaisir délicieux de
respirer l'atmosphère de l'atelier, et le désespoir d'en être banni pour
toujours. On m'appelait alors «le petit musicien». Fantin me prenait
plus au sérieux comme tel. Grâce à lui et à M. Edmond Maître, je fis
connaissance avec Schumann: Manfred, Faust, le Paradis et la Péri,
Geneviève; avec de mornes œuvres de Brahms; Schubert, Weber,
Wagner, Bach; toute la littérature musicale de l'Allemagne passa sur
le pupitre de mon piano, et j'accrochais aux murs de ma chambre les
lithographies romantiques de Fantin; ma chère Fée des Alpes!
Mystérieuses théophanies! Toute cette Allemagne qui baignait de
poésie si touchante l'intérieur de M. et Mme Fantin-Latour! Ils
croyaient au génie allemand, aux vertus, à la supériorité allemandes,
comme un Allemand y croit.
Fantin, a-t-on dit, est le peintre de la bourgeoisie sérieuse et
intellectuelle. En effet, c'est à cette forte classe, honneur du XIXe
siècle, qu'il se rattache surtout. Il y a des traits dans son caractère et
sa pensée, qui sont d'un bourgeois élevé dans des idées
voltairiennes, «libéral», c'est-à-dire sectaire, admirateur de Michelet,
infatigable liseur, casanier et timide, ennemi des gouvernements,
frondeur et partisan de l'ordre. Certains artistes se transforment au
cours de leur existence, les contacts extérieurs modifient leurs
habitudes, et le succès leurs façons. Manet, descendant d'une lignée
de magistrats, quoiqu'il n'ait jamais quitté sa famille, devient un
boulevardier et fréquente Tortoni. M. Degas lui-même a des phases
d'élégance sportive. Mais Fantin, fils d'un peintre très modeste, fut
immuable dans ses goûts; le musée du Louvre, où il fit son
apprentissage, et l'école buissonnière, furent le but de toutes ses
sorties.
On peut le suivre depuis son adolescence jusqu'à sa mort, faisant
les mêmes gestes, aux mêmes heures, en deux arrondissements de
Paris. Mieux que personne au courant de la littérature et de l'art de
France et d'ailleurs, sa pensée voyageait, mais son corps semblait
amarré aux rives de la Seine, entre le pont des Saints-Pères et
l'Institut pour lequel il avait un secret penchant, mais où il ne se
décida pourtant jamais à briguer un siège, par fierté, et peur du
ridicule.
Dans l'atelier, une journée de travail; des repas frugaux, de
bonnes lectures, le soir venu, sous la lampe; des cartons remplis de
reproductions de tableaux célèbres—Fantin en décalquait pour se
«mettre des formes dans la mémoire»:—que peut souhaiter de plus
un sage, s'il ne tient pas à conserver une taille mince et des
mouvements alertes, au delà de la quarantaine?
Fantin, lourd de corps, avait horreur de l'exercice, du
mouvement, de tout ce qui est l'action. La guerre de 70 lui avait
laissé un souvenir d'effroi et il se fût jeté parmi l'encombrement de
la chaussée, plutôt que de coudoyer un militaire sur le trottoir.
Violent à l'excès, chez lui, il eût fait un long détour afin d'éviter, dans
la rue, une personne hostile. Aux vernissages de l'ancien Salon,
emporté par sa passion—pour ou contre ses confrères—il se faufilait
par les galeries, sous la protection d'une petite phalange de fidèles,
qui recueillaient ses terribles verdicts. De son pardessus très
boutonné, de son épais foulard sortaient des jugements inexorables.
Il voyait tout, il n'est pas un nouveau venu qu'il n'ait découvert,
surtout parmi les étrangers. Il était pour ceux-ci d'une indulgence
incompréhensible: s'il s'agissait d'un «jeune» Scandinave, ou
berlinois, il en suivait les progrès ou les défaillances avec une sorte
d'amitié. Il savait par cœur, comme M. Bouguereau, le catalogue
officiel, les récompenses, le titre des ouvrages qui les avait méritées.
Le «Salon» était pour Fantin le point culminant de l'année. S'y
préparant plusieurs mois d'avance, il y envoyait autant d'œuvres que
possible: deux tableaux à l'huile, deux pastels et des lithographies,
«son salon», comme l'on disait alors.
Il refusait de faire partie du jury, mais approuvait les médailles et
les décorations.
Par égard pour la hiérarchie, il défendait les académiciens, et
redoutait ses amis les impressionnistes comme des ennemis de
l'ordre; toujours irritée et pleine de contradictions, sa critique était
intransigeante et «conservatrice».
Le jour du vernissage venu, c'était une partie familiale et un acte
rituel, que de dépasser le pont Solférino, puis de s'engager dans les
Champs-Élysées et de déjeuner à midi sous l'horloge du Palais de
l'Industrie, à «la sculpture»—évitant «Ledoyen» à cause des
courants d'air et du soleil. Fantin préférait qu'on lui rapportât dans
l'après-midi, les mots de Forain, de Béraud ou de Duez, qui le
ravissaient, mais auxquels il n'eût pas osé répondre. Il faisait aussi
des «mots rosses» et ne détestait pas qu'on les redît aux confrères
qui en étaient l'objet, quitte à trembler si quelque mauvais peintre
plein de gloire, le regardait ensuite avec des sourcils en courroux. Il
n'était à l'aise que derrière sa porte au judas si commode pour
savoir qui s'y présente.
Un jour de lumière et de fête dans toute une année de
claustration voulue! Après le repas, on remontait dans les salles de
peinture, puis on redescendait au jardin, si frais, où les élégantes
exhibaient les modes du printemps parmi les marbres, les plâtres,
les rhododendrons et les plantes vertes.
A six heures du soir, la foule, chassée par les gardiens, s'écoulait
au cri de «On ferme! on ferme!» et Fantin rentrait avec une
migraine, sous sa «tente orléaniste» pour reprendre aussitôt ses
habitudes de chat domestique. Il vivait pendant des mois sur ses
souvenirs du «vernissage». Fantin jugeait l'état de la société
française d'après le cinématographe qu'était pour lui «le Salon».
Malgré mon admiration pour Fantin-Latour, j'étais surtout attiré
par Édouard Manet; Edmond Maître m'avait fait connaître Renoir,
Monet, Cézanne, Degas, et j'étais surpris que, dans ses entretiens,
Fantin, l'ami et le contemporain de ces grands artistes, eût toujours
des réticences, et décochât des mots ironiques et sévères pour eux;
Manet, seul, était à l'abri des sarcasmes de Fantin. Manet demeurait
le grand peintre, et le gamin amusant auquel on pardonne des
frasques; Manet faisait rire Fantin.
D'autre part, Fantin parlait souvent d'un Lembach, d'un Leibl,
d'un Menzel, voire d'un Max Liebermann, parmi les étrangers; de
Henner, d'Harpignies, de Gustave Moreau, de Ribot, de tant d'autres
exposants du Salon des Champs-Élysées; et il me semblait qu'il les
mît tous au même rang.
A cette époque-là, les peintres avaient un amour de leur métier,
qui ne les empêchait pas de regarder, de s'intéresser et de rendre
justice à tout confrère auquel ils reconnaissaient une valeur. Degas,
Manet, visitaient aussi le Salon annuel avec soin, tout convergeait
vers le Salon; seuls s'en écartaient ceux qui, comme les
impressionnistes, essayèrent, étant déjà connus, d'y faire recevoir un
tableau. Manet n'y renonça jamais; sa plus grande joie eût été
d'obtenir la médaille d'honneur. Aussi, les membres du jury dont on
se moquait entre soi, avaient-ils malgré tout un prestige national.
Les séances de ce jury pour la préparation des «récompenses» à
donner, prenaient des semaines; on voyait ces messieurs, précédés
de gardiens, passer d'une galerie dans l'autre, les rideaux se
refermaient à la porte de la salle, une sonnette était agitée par le
président. Ces formalités étaient solennelles et des centaines
d'artistes tâchaient d'apprendre leur sort, par quelque employé du
Ministère des Beaux-Arts; ils rôdaient dans le Palais de l'Industrie, en
attendant une médaille ou une «mention honorable» qui leur assurât
une année prospère.
On imagine difficilement aujourd'hui ce qu'il fallut d'audace au
petit groupe dit des Impressionnistes, pour exposer, à part, dans un
immeuble dont ils essuyaient les plâtres.
Cette audace inquiétait Fantin. Or, je ne sais encore si cet homme
si intelligent était sincère quand il traitait Renoir de «malade», les
impressionnistes de «dévoyés.» Il les tenait pour immoraux, il en
avait peur comme un homme chaste de la volupté. Je croirais plutôt
qu'il les aimait et qu'il se défendit de se le dire à lui-même.
Je rappelais, au commencement de cette étude, le désarroi
d'avant 1914, la rapidité avec laquelle se succédaient les théories
d'art. On en était à ce point où l'imitation de la nature était tenue
pour «inartistique», le portrait peint, pour inférieur à la
photographie, et aussi commercial.
Or Fantin était portraitiste, un scrupuleux copiste de la nature; s'il
se plaisait à la peinture pour la peinture, il redoutait «les excès du
tempérament» disait-il avec ironie, et préféra l'asservissement du
réalisme, la soi-disant platitude du «rendu», aux extravagances
chromatiques, à la déformation de la ligne, à la recherche du ton
rare, et à «l'originalité obtenue coûte que coûte.»
Il aurait été fustigé par «la critique d'avant-garde», ne fût-ce son
passé de «raté»—disons mieux—de méconnu, et s'il avait eu une
clientèle d'Américains ou de personnages officiels.
Sa retraite farouche dans le vieil atelier dont il faisait lui-même
«le ménage»—ceci peut sembler ridicule, mais c'est exact—ajoutait à
sa légende, et rassurait ceux qui croient que le génie est réservé aux
humbles.
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