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Chapter 10: Control II - Procedures and Environments
TRUE/FALSE
1. Procedures were first introduced when memory was scarce, as a way of splitting a program into
small, separately compiled pieces.
2. An activation record is a stored log recording each time a procedure or function is activated.
3. A procedure specification includes its name, the names and types of its formal parameters and its
return type, if any.
4. You call a procedure by stating its name, together with arguments to the call.
6. A call to a procedure transfers control to the beginning of the body of the called procedure.
7. A procedure declaration creates a constant procedure value and associates a symbolic name with
that value.
10. When you define a procedure, the parameters you list in the interface are the formal parameters.
11. When parameters are passed by value, the arguments are expressions that are evaluated at the time
of the call, with the arguments’ values becoming the values of the parameters during the execution
of the procedure.
13. Pass by value implies that changes cannot occur outside the procedure through the use of
parameters.
15. If a pointer is passed by value, the procedure cannot modify the contents of the pointer.
18. Pass by name can be described as an advanced inlining process for procedures.
20. In pass by name parameter passing, arguments are not evaluated until their actual use as
parameters in the procedure.
22. In strongly typed languages, procedure calls must be checked so that the arguments agree in type
and number with the parameters of the procedure.
MULTIPLE CHOICE
5. A procedure communicates with the rest of the program through its parameters and through ____.
a. constants c. nonlocal references
b. functions d. overloaded variables
ANS: C PTS: 1 REF: 447
7. The ____ is the memory allocated for the local objects of a procedure block.
a. call record c. activation heap
b. activation record d. heap record
ANS: B PTS: 1 REF: 448
13. If a parameter behaves as a constant value during execution, the parameter is passed ___.
a. by address c. by type
b. by reference d. by value
ANS: D PTS: 1 REF: 451
14. If the parameter becomes an alias for the argument, the parameter is passed ____.
a. by reference c. by value
b. by address d. by type
ANS: A PTS: 1 REF: 452
15. Pass ____ copies in the parameter value, and at the end of execution, copies out the final value of
the parameter.
a. by value c. by value-result
b. by reference d. by address
ANS: C PTS: 1 REF: 454
16. Historically, the interpretation of pass by name arguments as functions to be evaluated was
expressed by referring to them as ____.
a. chunks c. thunks
b. objects d. expressions
ANS: C PTS: 1 REF: 456
17. In a(n) ____ environment, all memory allocation can be performed at load time, and the location of
all variables are fixed for the duration of program execution.
a. dynamic c. global
b. universal d. fully static
ANS: D PTS: 1 REF: 459
18. The ____ maintains the location of the current activation record.
a. environment pointer c. stack pointer
b. activation pointer d. stack register
ANS: A PTS: 1 REF: 462
19. The pointer to the previous activation record is the ____ link.
a. reverse c. control
b. history d. return
ANS: C PTS: 1 REF: 462
20. The local variable ____ stores the distance from the environment pointer.
a. distance c. offset
b. locator d. pointer
ANS: C PTS: 1 REF: 464
22. ____ occurs when multiple access links must be followed to arrive at a nonlocal variable.
a. Access chaining c. Environmental linking
b. Lexical chaining d. Global linking
ANS: A PTS: 1 REF: 468
23. In a(n) ____ environment, activation records are not removed as long as there are references to any
of its local objects.
a. closed c. type safe
b. fully dynamic d. fully static
ANS: B PTS: 1 REF: 472
24. The process of joining a block of free memory with immediately adjacent blocks to form a larger
contiguous block of free memory is called ____.
a. consolidation c. reference counting
b. defragmenting d. coalescing
ANS: D PTS: 1 REF: 474
Paul.
16. Au même.
5 décembre.
Paul.
17. Au même.
14 décembre.
Mon cher ami,
n’a pas grand cours ici et n’y trouve guère d’applications. L’affection
appelle l’affection et la bonté engendre le bon esprit. Il existe
naturellement des degrés dans la sympathie des élèves pour leurs
différents maîtres ; à côté des pères, il y a des oncles ou de simples
cousins : mais avec tous, jeunes et vieux, on est à son aise. On ne
songe pas à éviter leur rencontre : c’est au contraire une bonne
fortune d’en accrocher un par hasard dans un corridor et d’en
recevoir un mot aimable. Je dormirais mal, si le soir, en passant
devant mon surveillant de dortoir, je ne pouvais lui dire un : Bonsoir,
mon Père, et s’il ne me répondait : Bonsoir, mon fils. Il y a deux
jours, n’étant pas content de ma tenue en allant au réfectoire, il m’a
appelé Ker tout court : j’en ai perdu l’appétit au dîner — et pourtant
c’était jour de frites !… Mais sais-tu seulement ce que c’est que nos
frites ? Est-ce qu’on songe à vous donner des frites au lycée ? Il y
faudrait pour le moins un ou deux décrets ministériels. Tu n’as rien
vu, mon cher, et rien mangé de bon !
Il faut dire que notre premier surveillant est la meilleure pâte
d’homme qu’on puisse rêver : gros, rond, franc, tout d’une pièce,
aimant à rire, sauf quand il s’agit du réglement et des convenances.
Aussi n’a-t-il qu’à lever le doigt pour être compris et obéi. Il est
prêtre, confesseur très couru de la division voisine, prédicateur très
apprécié des élèves et musicien remarquable.
Son collègue est beaucoup plus jeune, notre aîné de quelques
années, vif, ardent, un pétard toujours prêt à partir, bon et beau
joueur, souple et nerveux : à la tête d’une partie de barres ou de
drapeau, il est d’une crânerie superbe avec sa soutane et ses
manches retroussées, ses poings en arrêt, son œil fulgurant. Il faut
voir comme il enlève son monde à l’assaut d’une position ennemie !
C’est un délire de bravoure, qui, derrière lui, précipite la moitié de la
division, et l’autre moitié est vaincue d’avance, à moins d’une lutte
absolument désespérée. Nous avons failli déjà le porter en triomphe.
Il s’ingénie de mille manières à varier nos petits plaisirs en cour,
en promenade. A la dernière sortie, les élèves dont les parents
n’avaient pu venir (j’en étais) sont partis avec lui dès le matin pour
une excursion dans la montagne. Musique militaire, composée d’un
clairon et de plusieurs mirlitons ; pique-nique près d’une source
limpide ; chants et joyeux devis jusqu’à la nuit tombante. L’un de
nous s’étant un peu blessé, le surveillant le soigna avec une
sollicitude de maman-gâteau. Comment veux-tu qu’on ne s’attache
pas du fond de l’âme à des hommes qui identifient ainsi leur vie avec
la nôtre ? Et quand ensuite, l’heure venue, le surveillant donne son
coup de sonnette qui rappelle au devoir sérieux, ou quand il vous
demande, au nom de la règle, un de ces mille petits efforts qui
constituent la vie d’écolier, comment veux-tu qu’on le refuse ? Ce
serait de l’ingratitude. Pour ma part, lorsqu’il est mon adversaire à la
balle au camp, je cale dessus sans scrupule et sans ménagement :
c’est le jeu, la bonne guerre. Mais, si j’avais le malheur de lui causer
en n’importe quoi la moindre peine, je n’attendrais pas une minute
pour lui demander mon pardon.
Voilà pour les surveillants. Avec les professeurs nos relations
sont encore plus faciles et plus agréables, du moins quand on
appartient, comme je m’en flatte, à la catégorie des travailleurs
sérieux. Les surveillants, chargés d’assurer l’ordre et la discipline en
récréation, au réfectoire, au dortoir, partout, du matin jusqu’au soir,
et du soir jusqu’au matin, ont une tâche complexe et souvent, quoi
qu’ils fassent, ingrate : l’homme extérieur échappe plus facilement à
l’influence de l’autorité qui veut le former ou le réformer. Le
professeur s’adresse à l’intelligence : il a ainsi, avec le rôle brillant,
une prise bien autrement puissante sur tout l’homme. L’homme, c’est
son style : quand un élève est obligé, tous les jours, pendant un an
ou davantage, de livrer par écrit le fond et la forme de sa pensée sur
tous les sujets imaginables, il se livre lui-même, avec son fort et son
faible. Se sent-on faible, on s’accroche au professeur comme le
naufragé à l’unique planche de salut, et alors s’établissent tout
naturellement des rapports de secourable condescendance, d’une
part, et de reconnaissante confiance, de l’autre.
Cela ne doit pas être gai tous les jours, pour le professeur, si l’on
en juge par les efforts inouïs d’ingénieuse patience que nous le
voyons dépenser, souvent en pure perte, pour faire entrer des
choses rudimentaires dans quelque cerveau rebelle ; car ici, mon
ami, on s’occupe de tout le monde, des premiers et des derniers,
selon la seule bonne volonté de chacun. C’est donc bien le moins,
quand on a la chance de compter parmi les forts, de dédommager
quelque peu le pauvre professeur par une tenue et une application
sans reproche : nous tâchons de le faire.
Il nous le rend dans ces charmantes réunions académiques, où il
convoque régulièrement l’élite de la classe pour quelque travail
supplémentaire, pour une lecture intéressante, une causerie
littéraire, et qui se terminent quelquefois — voudras-tu le croire ? —
par l’épuisement… d’une boîte de dragées, offerte au Père en
souvenir du baptême d’un de nos petits frères et qu’il nous offre à
son tour. Tu conçois bien que ce n’est pas la dragée qui fait plaisir :
c’est de la croquer en famille.
Après cela, tu es libre de m’appeler fanatique. Mais là, entre
nous deux, s’il prenait envie demain à mon brave papa de me
renvoyer au lycée de Z…, ὦ πόποι! Quelle culbute je ferais ! Celle
du petit Vulcain, qui tomba de l’Olympe pendant neuf jours de suite,
ne serait rien en comparaison.
Pardonne mon impertinente franchise.
Ton ami,
Paul.
18. Au même.
22 décembre.
Pas bien méchants, n’est-il pas vrai ? Et puis les vers sont des vers :
on ne les prend pas à la lettre. Malheureusement ils circulèrent ; un
artiste malicieux les aggrava, en y adaptant un air connu, et, à la
récréation suivante, quinze élèves le fredonnèrent, l’un après l’autre,
au nez de mon grand homme. Au quinzième, il perdit patience, vint
droit à moi, qui ne lui disais rien, et essaya de me cracher au visage.
Dame ! je répondis du tac au tac — et sa joue claqua. Il cria :
« Lâche ! » et esquissa un coup de pied, qui ne réussit point :
seconde claque. Alors le pauvret se mit à pleurer. Cela me calma
net.
Mais le mal était fait et le feu dans la ruche, je veux dire dans la
division. La majorité des élèves, par antipathie pour l’autre, tenaient
pour moi : quelques-uns, les oisons, m’en voulaient. J’allais devenir
un brandon de discorde, l’auteur d’une guerre civile.
Les deux surveillants, qui, au fond (je m’en doutais bien),
n’étaient pas trop fâchés de la leçon donnée au royal dindon, mais
qui regrettaient l’esclandre, se consultèrent ; puis le vieux vint me
dire : « Paul, je ne veux pas apprécier votre conduite : mon devoir
est d’en référer au P. Préfet. » Je voulus me justifier : « Non, fit-il
doucement ; ce n’est pas le lieu ni le moment : je crains que vous ne
soyez pas encore assez maître de vous pour bien voir les choses.
Allez trouver votre Père spirituel : il vous dira ce que vous devez
penser et ce que vous devez faire. On n’en parlera qu’après au P.
Préfet. »
J’obéis sans difficulté. Le Père spirituel m’écouta, comme
toujours, avec attention et bienveillance. Quand j’eus tout loyalement
raconté :
« Mon fils, dit-il gravement, êtes-vous fier de ce que vous avez
fait ? »
J’avais grande envie de répondre que oui : je ne sais pourquoi je
n’en eus pas le courage. Le Père continua :
« Qui de vous deux était le plus fort ? »
Voyant venir le coup, je pris la tangente :
« Pouvais-je me laisser cracher à la figure sans châtier ce bout
d’homme rageur ?
— Peut-être que non. Mais à qui la faute, si le bout d’homme
rageait ? A sa place, ridiculisé et chansonné publiquement, auriez-
vous gardé votre sang-froid ? »
Je répondis par un signe de tête négatif.
« Eh bien, mon fils, de quel droit demandez-vous à d’autres un
effort dont vous ne vous sentez pas vous-même capable ?… Cet
enfant a eu tort de vous insulter comme il l’a fait ; mais, évidemment,
il ne se possédait pas — et il avait été provoqué. » Le Père insista :
« Il avait été provoqué. »
Je comprenais trop bien ce qu’il voulait dire et ne pouvais nier
qu’il eût raison : sans mon épigramme, rien ne serait arrivé. Je
baissai la tête et attendis mon arrêt. Il reprit :
« Vous êtes venu pour savoir mon avis ?
— Oui.
— Et vous voulez que je vous le dise franchement ?
— Oui.
— Eh bien, vous devez à votre condisciple et à toute la division
une réparation. »
Et comme je me révoltais :
« Mon fils, je ne vous l’impose pas, je n’en ai pas le droit ; mais je
l’attends de votre loyauté de cœur et de votre bon sens. Et pour
avoir le courage de demander pardon aux hommes, venez d’abord
demander votre pardon à Dieu. »
Ce disant, il m’attira doucement à son prie-Dieu, s’agenouilla à
côté de moi devant son pauvre Christ de cuivre et prononça d’une
voix où tremblait un peu d’émotion : Seigneur, pardonnez-nous nos
offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés. »
Je te laisse à deviner ce qui suivit.
Le même jour, après la classe du soir, pendant que la division
silencieuse entrait dans la cour sur deux rangs, je sortis de ma place
et m’avançant vers ma victime, je dis très haut :
« N…, je te fais mes excuses pour les ennuis que je t’ai causés ;
je les regrette et te prie, devant tous nos camarades, de me
pardonner. »
Il prit la main que je lui tendais et la serra avec une vivacité qui
me donna bonne opinion de son cœur : « Merci », dit-il, et un peu
plus bas il ajouta : « Pardonne-moi aussi. »
Sur ce dernier mot, que je n’attendais pas, tout ce que j’avais
contre lui s’envola ; je l’embrassai franchement, la division applaudit
et nous célébrâmes tous ensemble la fin de la guerre civile par une
partie de ballon trois fois plus joyeuse que toutes les précédentes.
Le P. Préfet, averti par le Père spirituel, n’eut pas le temps
d’intervenir, et, je crois, n’en eut pas de regret : nulle mesure
disciplinaire ne pouvait produire un effet aussi rapide et aussi
complet. Je me rends fort bien compte que, dans la circonstance,
personne autre que mon directeur de conscience n’eût obtenu de
mon amour-propre un acte de réparation : devant une sommation
officielle, j’aurais cassé, mais non plié.
Tu vois à quoi sert, en dehors même du confessionnal, un Père
spirituel. Il est le tampon qui amortit ou prévient les gros accidents,
comme dans mon cas ; il est, en tout temps, le médiateur naturel
entre les faiblesses du jeune âge et les rigueurs du Code pénal
écolier. Les professeurs et surveillants sont des pères, sans doute,
mais aussi des maîtres : gants de velours, mains de fer. Lui n’est
que père : il n’a que du velours.
Et pourtant — je t’en reparlerai peut-être — ce velours a
quelquefois d’assez rudes passes : il le faut, quand on veut être loyal
avec soi-même. J’ai dans mon directeur une confiance absolue : il
me connaît de fond en comble. Il a été convenu entre nous que je ne
lui cacherais rien et qu’il ne me passerait rien : car je veux me faire
un caractère, et, sans lui, je n’y arriverais jamais.
Toi, mon bon, qui est-ce qui te rabroue, te relève et te soutient ?
Je sais que tu ne hantes pas beaucoup l’aumônier : tu serais mal vu
— et un aumônier pour trois ou quatre cents élèves n’a pas le temps
de s’occuper beaucoup de chacun. Je te plains ; car je t’assure que
c’est bon, par moment, d’avoir son déversoir. Adieu, Louis.
Ton ami,
Paul.
4 janvier.
Ta sœur Jeanne.
10 janvier.
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